Speleled

Bon, maintenant que tous les composants sont là, on ne va pas attendre plus.

Première étape, la pesée du boitier "presque nu".

Il était donné à 81 g par le logiciel, là, avec presse étoupe et couvercle, on est pas mal.

Les leds sont déjà soudées, il me reste plus qu'à les "coller" à l'artic silver dans les logements prévus à cet effet.

Nous voilà donc avec 2 fils pour le spot et 2 fils pour la partie wide.

Mise en place des optiques, de la vitre et des vis.

C'est beau, c'est propre et ça n'engage que moi...

Il est temps maintenant de passer au côté face de la chose. Les cable "switch" sont soudés sur les 2 drivers, il ne me reste plus qu'à souder les câbles d'alimentations en prévoyant en positionement côte à côte.

Voilà... Comme ça c'est net !!

Maintenant cablage de l'inter (mom)/OFF/(mom) en faisant bien attention au sens. Je veux que la position "en haut" commande le spot ( pour éclairer les cheminées) et en bas commande la progression ( pour éclairer mes pieds).

Un peu de gaine thermo pour prévenir tout faux contact.

Finalement, ça rentre bien, merci l'inter unipolaire.

 Là, il me manque une photo, mais la suite c'est "meulage" des picots qui sortent du driver, mise en place du pad thermique et du radiateur commun au 2 drivers composé d'un plat alu anodisé de 20 X 45 mm qui se trouver parrallèle au plan de fermeture. Après quelques essais, fermeture avec mon beau couvercle imprimé.

Voilà ma belle quasi finie crachant ses premiers lumens :

Il me reste à affiner la programmation des drivers, au niveau de la gestion d'accus, installer la charnière, et surtout l'essayer sous terre.

Les premiers essais dans le garage et dehors dans la nuit sont plutôt pas mal. Certainement un article à venir.

Concernant le montage : c'est la bonne surpise très facile.

Oublié la fastidieuse mise en parrallèle le la platine de la V3.

Oublié la soudure de l'inter dans le boitier.

Oublié les tretouches du couvercles et du presse étoupe.

Là, c'est quasi du plug and play !!

Seul l'ajustage de la vitre m'a demandé un peu de temps sans valeur ajoutée, mair la création d'un gabarit de découpe/perçage imrpimé fût une riche idée.

Au niveau retouches à faire sur le plan, pas grand chose finalement. Les^platines led sont précise, je pourrais réduire la taille du lamage pour améliorer le centrage des leds.

Possibilité aussi de modifier la position du trou d'inter pour avoir plus de place au dessus, mais je perdrais la possibilité de réversibilité pour un éventuel montage gaucher.

Voilà donc le boulot de 2 petites soirées.

Hâte d'aller l'essayer sous terre !

Sans contrôle, la puissance n’est rien....

Après l’épisode 1, voici lasuite de notre saga. Considérant que  le couple  lampe + accus est un tout, je vais m’attarder sur la partie "lampe" de mon éclairage, ce qui nous conduira au choix des accus...

Je vais faire simple :

Puissance lumineuse brute :  4 leds dernière génération pour pas faire tomber le rendement , un driver capable de supporter 15 watt, et voilà avec un éclairage qui balance au bas mot 1800 lumen. Trop génial. Idéal pour montrer qu’on a la plus grosse à la belle blonde suédoise croisée sous terre.

On peut même faire encore plus fort, assez facilement. Mais… A quoi ça sert ?? ( y'a plus de suédoise sous terre ).

Optiques :  Le wide j’aime pas. Parfait pour avoir un rideau noir 20 mètres devant soit, parfait pour obtenir un effet tunnel avec une forme démarcation ombre lumière, parfait pour projeter des ombres à l’arrière comme au temps de l’acéto. Suivez un mec avec une scurion vous verrez.

on peu allumer  le spot pour percer un peu ce rideau noir. Conclusion : on ajoute un point chaud devant le nez qui tire l’œil, et on consomme plus.

Parfait pour gaspiller des watts, mauvais pour le confort visuel.

Pour la progression, l’idéal (AMHA) étant un mixte d’optique soigneusement choisis : large + moyenne.  La transition vers le noir se fait en douceur, le centre est renforcé sans être agressif. On oublie la lampe. Dans cette configuration, 80 ou 150 lumen permettent d’avoir un confort visuel qui conviendra à la majeur partie des utilisations. 

Parfois, on veut voir loin : Chercher un spit, sonder une cheminée, deviner le cheminement. Là, le faisceaux spot prends tout son intérêt. C’est un artifice que l’on va utiliser 3 ou 5 % du temps, mais qui va permettre d’économiser de l’énergie. En effet, avec 400 lumen correctement focalisé, on a plus de chance de voir le fond du puits qu’avec 2000 lumen en wide qui vont se refléter sur les bords .

C’est de ce raisonnement qu’est né la speleled ultime, 1 moteur de lumière dédié à la progression avec 2 leds ( meilleur rendement qu’une seule) et 2 optiques, et 1 moteur de lumière dédié au spot.

Gestion de l’autonomie :  Revenons à notre grosse Bertha de 1500 ou 2000 lumen. Elle va avoir une amplitude d’intensité ( I ) très large, car on est pas toujours à fond. Nous avons la chance d’avoir des drivers capable de gérer « l’autonomie ». En réalité, ils sont capable de mesurer leur tension d’entrée, et à partir d’un certain seuil, baisser le niveau de lumière, avertir par des clignotement, voire couper tout ( gestion de l’accus ). Mais les accus ont une résistance interne… Et pour le même niveau de charge, la tension de l’accus va beaucoup varier en fonction du courant qu’on lui demande de fournir. On arrive au dilemme suivant : Je met une alerte calibrée assez haute, à 50% de l’accus, et je vais avoir le signal très rapidement dès que j’envoie la patate. Je met une alerte basse et je risque d’être averti très, (trop) tard.

Pour une gestion la plus précise possible, je propose de limiter la puissance absorbée sur chaque driver. Je propose aussi de programmer différemment le driver spot et le driver progression. Ca tombe bien, ma speleled ultime dispose de 2 lflex !!

Il est arrivé.

Mais avant de vous montrer ce qu'il m'a apporté, où plutôt ce que je suis allé cherché ce soir, je veux Te remercier, toi, lecteur de passage ou peut être fidèle....

En effet, plus de 24 000 pages ont étés visitées sur ce blog depuis sa création, et le mois de novembre 2013 est un mois record en terme d'audience.

Soyons clair, cela ne me rapporte pas un kopek, mais l'ultime nsatisfaction de ne pas écrire ces pages pour rien.

ULTIME, ultime, cela ne vous rappelle rien ?

Justement, voiilà ce que je suis allé chercher à l'atelier du père noël ;-))

Pas mal de gueule non ? D'autres photos sont dans l'album       Speleled-Ultime , et de prochaines mises à jours sont prévues lors du montage de la belle.

Alors à très bientôt....

Voici la conception story de l'ultime, où comment essayer de faire ma lampe idéale

Le boitier est en cours d'usinage, et les composants sont reçus. Je l'attends impatiemment pour attaquer l'assemblage !

Cette lampe, je l'ai pensée à travers la fonction, et j'ai construit le boitier autour, en restant fidèle à ma structure en H

Le lecteur attentif du blog verra dans cette lampe la fusion des premières speleleds et de la ronde.

Pour cette Speleled Ultime, je voulais :

2 leds XML pour y voir correctement, j'ai choisi des XML2 U3.

Ces leds seront associées à 2 optiques différentes, large et moyenne pour retrouver le confort visuel exceptionnel des speleleds rectangulaires.

Mon proto ayant été dessiné avant mes essais de presse etoupe imprimé, c'est un presse étoupe classique que j'intègre,

Pour une compatibilité avec les autres lampes de mon club, je choisi de l'alimenter en 3,7V, et de rester fidèle au lflex.

   Petite note : Les composants placés dessous pour la photo prendrons place en réalité à l'arrière, de l'autre côté du H.

Vous avez remarqués l'inter ? Ce n'est pas un poussoir APEM qui s'intègre si bien, mais un poussoir (ON)/OFF/(ON) bipolaire... Bizarre... Ou peut être pas finalement.

L'utilisation de mes précédentes lampes, et aussi les écoutes attentive de tous, ont finis par me faire accepter que l'idée d'une fonction SPOT pouvait ammener un plus à la lampe, àcondition que cela ne soit pas au détriment de la lampe.

Tiens ? un nouvel  appendice à ma lampe ?

Avec son optique serrée cette fois, et comme "sans contrôle la puissance n'est rien", je vais ajouter un second Lflex.

Et aussi me faire plaisir avec un couvercle imprimé...

Bon...Sur celui ci, j'ai merdé à la conception : Trop peu de matière au bord du trou donne ce plat pas terrible... J'ai donc modifié mon plan pour avoir un couvercle parfait.en ajoutant de la matière en regard des vis.

Et voilà donc 2 images de ce que devrait être à peu prêt le boitier :

Vous aurez la photo du bout d'alu à réception, question poids, il devrait être à 97 grammes.

C'est la toute dernière de la série, avec tous les attributs qui permettent un montage soigné.

Elle méritait bien un casque tout neuf, j'ai choisi le Salewa, confortable, légé et pas cher.

Quelques photos de la belle :

La voilà en plus gros :

Là, on voit l'apport de la techni impression 3D pour le presse étoupe :

et là, la cerise sur le gateau ;-)).... Ma, c'est pro non ??

C'est joli, et surtout, ça évite de passer des heures à ajuster les pièces PVC à la dremel...

A l'interieur, un rebord décalé de 0,5 mm recentre le couvercle et permet de retenir le joit silicone...

Une vraie révolution...